24 octobre 2014
Une vie française
« J'écrivis à Sinika pendant trois ou quatre mois. Elle m'envoya des poèmes et des photos d'elles. Puis, un jour, elle y ajouta un cliché de son chien qui ressemblait à une sorte de vieille banane en peluche. Je ne saurais dire en quoi la vue de cet animal transfigura mes sentiments, mais, en l'espace d'une seconde la plus aimée, la plus douce et la plus belle femme du monde sortit définitivement de mon cœur et de ma vie. »
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